Lieux importants au Maroc

Kasbah AÏT BEN HADDOU

À quelques kilomètres de la route nationale reliant Marrakech à Ouarzazate se trouve le village le plus intéressant et le mieux préservé du Maroc, entièrement construit en terre battue, déclaré patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, et où plusieurs films ont été tournés sur Jésus ou sur des thèmes bibliques.

Il conserve au sommet de la colline sur laquelle il est construit un grenier fortifié (Igherm) ainsi que de nombreuses kasbahs restaurées parmi ses rues.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

LA PALMERAIE DE SKOURA

Cette palmeraie a été plantée au XIIe siècle par le sultan almohade Yakub al Mansur. Dans cette vallée se trouvent les plus belles kasbahs du Maroc, généralement toujours situées près des rivières pour défendre le territoire.

KALAAT MGOUNA (Vallée des roses)

Au Xe siècle, des pèlerins ont rapporté de La Mecque des rosiers de la variété damascène et se sont installés dans cette vallée. Sa culture a développé une industrie d’élaboration d’eau de rose, de parfums et de produits cosmétiques. De nombreuses kasbahs sont visibles dans la région.

DADES GORGES

Gorge spectaculaire traversée par le rivière Dades.

LES GORGES DU TODRA

Avec des murs rocheux de 300 m. et des paysages spectaculaires avec des centaines de palmiers qui suivent le cours de la rivière Todra.

PALMERAIE DE TAFILALT

Appelée aussi la Mésopotamie marocaine, au fond d’un canyon coule la rivière Ziz avec la plus grande oasis du pays, 800 000 mille palmiers. La vue depuis la route nationale d’Errachidia à Rissani est spectaculaire.

RISSANI

Capitale de la région du Tafilalt, née au XVIIe siècle de la dynastie actuelle, les Alaouites, et incroyablement loin du tourisme, ce qui lui a permis de conserver toute sa saveur ancienne. Elle est l’héritière de l’ancienne ville de Sigilmassa.

Trois fois par semaine, un marché extraordinaire se tient dans le souk de la ville et rassemble une population nombreuse venue des environs. Une visite s’impose, pas du tout chargée de stéréotypes touristiques, tout à Rissani sent l’authenticité !

Le grand patrimoine du Tafilalt, outre les paysages spectaculaires, peut-être les plus impressionnants du sud marocain, est qu’il conserve un très riche patrimoine d’architecture au sol que l’on peut visiter dans toute la région mais que l’on oublie complètement lors des voyages dans la région.

SIJILMASSA

La capitale historique du Tafilalt comptait 20 000 h. Fondée au VIIe siècle, elle fut la capitale du premier royaume musulman du Maroc, la capitale caravanière du circuit qui, de l’autre côté du Sahara, rejoignait la Méditerranée.

HASSI LABIED

Sa signification est puits blanc car jusqu’aux années 60 il n’y avait que les dunes de l’erg Chebbi et un puits blanchi à la chaux, au fil du temps on a installé de vieilles familles nomades et la palmeraie s’est développée.

L'ARCHITECTURE SUR LA TERRE

L’architecture marocaine se divise en deux familles constructives, celle d’origine andalouse qui suivra les modes de l’actuelle Espagne, comme les madrasas, les tombeaux saâdiens, les palais, etc. et la grande architecture terrestre, peut-être la plus grande contribution du pays …. à l’histoire de l’architecture mondiale.

Ce type de construction, qui traverse actuellement l’Atlas, est lié à la culture berbère ; ses origines ne sont pas connues, mais elles indiquent un début entre le deuxième et le septième siècle, certains évoquant même une origine yéménite avant la conquête arabe. Elles se divisent en trois groupes principaux.

KASBAH. La résidence des gentilshommes, un bâtiment de trois hauteurs avec des pièces autour de la cour centrale et une tour à chacun de ses quatre coins.

IGHERM. D’apparence similaire à la Kasbah mais de moindre hauteur et sans fenêtres, un grenier communal dans un village local.

KSAR. Les villages rectangulaires sont construits à l’intérieur de murs avec des tours à chaque coin. Les rues sont rectilignes et parfaitement adaptées aux rigueurs du climat. Certains de ces villages possédaient un Mellah (quartier juif) qui fut le seul modèle urbain de population jusqu’au début du XIXe siècle. Son urbanisme ne peut être comparé à aucun autre village connu, il est si radicalement différent de tout ce qui a été vu que le visiteur ne l’oubliera jamais, étonnamment il n’est pas inclus dans les circuits touristiques alors qu’il y en a plus d’une centaine.

PLACE DE L'ATRUS

A cet endroit, un puits sert d’abreuvoir aux troupeaux conduits par les nomades. Le rallye Paris-Dakar y passait autrefois. Le paysage est constitué d’une vaste savane où abondent les acacias qui rappellent davantage l’Afrique noire que l’image que l’on se fait du Maroc. Il en va de même pour les paysages qu’il faut traverser pour atteindre Atrus, tous plus spectaculaires les uns que les autres et inconnus des circuits touristiques.

DGEBEL M´DOUAR

Montagne située à 10 km de Rissani ayant la forme d’un cratère et qui possédait autrefois une fontaine naturelle au sommet. Trois murs ont été construits en trois sections du haut vers le bas pour contenir l’eau. Le dernier mur, construit au 19e siècle, a été construit par des esclaves qui allaient être vendus au Portugal, d’où le nom de « prison portugaise », bien qu’il n’y ait aucune preuve qu’il y en ait eu. Il n’y a jamais eu de prison, et encore moins de prison portugaise, dans la région. Un sentier mène au sommet, d’où l’on peut admirer l’un des paysages les plus spectaculaires de tout le Maroc.

TAMNOUGALT

Capitale de l’oasis de la tribu berbère des Mezguida, située à un point de passage des caravanes sur la route qui reliait Tombouctou à Marrakech. Ville intéressante où ont été tournées des scènes de La Passion de Mel Gibson et de Sous le ciel protecteur de Bernardo Bertolucci.

Kasbah du CAID : Ancienne demeure du souverain de Tamnougalt, elle a été magnifiquement restaurée par l’un de ses descendants, Hassan, qui dirige l’hôtel. Un vrai privilège de sentir comment était la vie dans la maison d’un potentat berbère.

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